top of page

 expositions 

béatrice casanova
a exposé
du 14 au 21 juillet 2017

Exprimer sa créativité dans l'art sans complexe », telle est la fin recherchée par l'artiste Béatrice Casanova qui a fait sienne la méthode Martenot.

Un enseignement progressif dans une liberté guidée qui respecte la spontanéité du geste et le rythme de chacun pour laisser libre cours à l'imagination et à l'émotion.

Durant cinq ans dans le berceau de l'art, à Florence, elle « a peint comme un écrivain écrit ». Sur ses toiles à huile ce qu'elle partage ne se décrit pas mais se ressent. « Tranches de vie », « carnet de voyage » sont autant de collections par lesquelles elle est parvenue à exprimer l'invisible par le visible.

Une relation singulière de l'artiste à son œuvre, nullement brouillée par des conventions, et qui in fine « procure du bonheur ».

Un point de départ, une recherche esthétique qui a mené Béatrice Casanova, du village de Barrettali à Sydney puis à Pékin.

L'institutrice de Centuri, dans le Cap Corse, a participé à une grande exposition collective organisée au Japon par l'association « art en voyage ». « Lorsque j'ai reçu l'invitation, j'ai d'abord eu du mal à y croire », confie avec modestie l'artiste peintre de 46 ans qui élabore ses œuvres dans son petit atelier situé au cœur du hameau de Chiesa, à Barrettali. À plusieurs reprises, elle a présenté son travail au Sénat (comité consultatif de la République Populaire de Chine), puis au musée de Tianjin. Une expérience enrichissante qui lui a donné l'occasion de côtoyer de nombreux artistes aux sensibilités très éloignées pour favoriser un échange culturel « incroyable ». Au total nous étions soixante-quatorze artistes peintres et photographes hongrois, espagnols, allemands, togolais et français. Les Chinois ont fait preuve d'une réelle curiosité pour le travail des Européens ».

Avec simplicité et humilité, Béatrice Casanova marche à pas de géant sur le chemin de la reconnaissance artistique. Sans jamais se détourner de sa maxime : « le bonheur c'est d'en donner » article Corse Matin 

bottom of page